Services médicaux
●
Pharmacies de garde :
Secteur de Bagnols et
de Pont-Saint-Esprit :
pharmacie Soulie, à
Saint-Nazaire .
| 14h | 15h | 16h | 17h | 18h | 19h | 20h | 21h | 22h | 23h | 0h | |
| Temps |  | | | | | | | |  |  | |
| T°c | 22 | 22 | 22 | 22 | 22 | 22 | 21 | 19 | 18 | 17 | 15 |
| T°c ressentie | 23 | 22 | 22 | 22 | 22 | 22 | 20 | 19 | 17 | 16 | 15 |
| Hygrométrie | 50% | 51% | 52% | 52% | 56% | 63% | 67% | 75% | 86% | 90% | 90% |
| Risque de précipitations | 13% | 14% | 15% | 20% | 14% | 12% | 11% | 7% | 6% | 6% | 7% |
| Précipitations (mm) | 0,1 | 0,1 | 0,1 | 0,1 | 0,1 | 0,1 | 0,1 | 0 | 0 | 0 | 0 |
| Direction du vent |  | |  | | | | | |  | | |
| Vitesse du vent (km/h) | 14 | 3 | 10 | 21 | 13 | 4 | 7 | 3 | 3 | 8 | 8 |
| Rafales de vent (km/h) | 15 | 18 | 21 | 24 | 19 | 13 | 8 | 8 | 8 | 10 | 10 |
Le Sénat entame ce mercredi la discussion sur la proposition de loi visant à interdire l'exploitation des gaz de schistes
Copyright Reuters Gaz de schistes, le retour. C'est en effet aujourd'hui mercredi que le Sénat entame la discussion en première lecture de la proposition de loi « visant à interdire l'exploration et l'exploitation des mines d'hydrocarbures liquides ou gazeux par fracturation hydraulique ». En clair, à interdire d'extraire les fameux gaz des schistes en utilisant la technique de la fracturation hydraulique. Cette dernière consiste en l'injection à forte pression, de grandes quantités d'eau additionnées de produits chimiques et de sable très fin, afin de fracturer les couches rocheuses et d'en libérer les gaz qu'elles contiennent. La proposition de loi a été adoptée par l'Assemblée le 11 mai. Sans les voix de la gauche qui, à l'unisson des écologistes, en critiquent son article 2. Ce dernier prévoit en effet d'accorder un délai de deux mois aux industriels, période qu'ils peuvent mettre à profit pour détailler la technique qu'ils comptent employer pour extraire les gaz et huiles schisteux des profondeurs. Or, selon de nombreuses déclarations, il n'existerait pas d'autres méthodes que celle de la fracturation hydraulique. Faut-il en déduire que l'interdiction de cette technique empêche l'exploitation de tout gisement ? Pas si simple. Certains experts aux ministères de l'énergie et de l'écologie, expliquent que « plusieurs recherches et études sont menées aux Amériques comme en Europe » visant à « moderniser» les technologies ». « Certes, elles n'en sont qu'au stade de l'expérience » précisent-ils, mais on peut citer la piste « de la fracturation pneumatique », qui consiste à remplacer l'eau par de l'air comprimé. D'autres recherches sont menées sur des systèmes de fracturation qui désagrègent les roches en leur faisant subir de violents chocs électriques. « Personne ne sait si ces méthodes sont efficaces ni rentables économiquement », tempère un membre du cabinet de la ministre du développement durable Nathalie Kosciusko-Morizet, mais « la fracturation hydraulique existe depuis 50 ans et n'est rentable que depuis 5 ou 6 ans » ajoute-t-il immédiatement.
S'il est certain que les techniques en gestation relèvent de la fracturation, « procédé incontournable si l'on veut libérer les gaz », elles échappent au modèle « hydraulique ». Et par là-même, à la future loi. Autrement dit, si l'injection d'eau à haute pression dans les sous-sols profonds est en passe d'être interdite, l'exploitation industrielle des gaz de schistes n'est, sauf à y renoncer pour des raisons politiques, économiques, voire les deux, nullement compromise en France.
Nos amis lozerois etaient present sur ce trail
Remoulins
Le Groupe F va
mettre le feu au Pont-du-Gard
LA LETTRE de Louis Esparza n°118 Pont St Esprit, le 1er juin 2011
Voir aussi les mêmes sujets développés en image sur ATV1.FR, la télé locale par Internet…
De l’oncle Hô à aujourd’hui : début des années 60, Hô Chi Minh (dit oncle Hô), président de la jeune république du Viêt-Nam du Nord, débarque à Paris en voyage officiel, chaussé de sandales faites dans de vieux pneus (comme les paysans vietnamiens). Des journalistes l’interrogent ironiquement sur ses sandales, et il répond : « mes concitoyens ne mangeant pas encore tous les jours à leur faim, pour moi, porter des chaussures comme les vôtres serait un luxe immoral ».
Aujourd’hui, quand on voit que pour les présidentielles, l’ex candidat favori du ‘’peuple de gauche’’ porte des costumes à 20 000 €, et habite une maison de 600 m² à 35 000 € de loyer par mois… même si le ‘’peuple’’ en question mange tous les jours à sa faim, on a quand même le sentiment de vivre à des années lumière des considérations de l’exemplaire oncle Hô…
De tante Yvonne à maintenant : au début de la Ve République, De Gaulle régnant, sa femme Yvonne, que le Canard Enchaîné appelait ‘’tante Yvonne’’, se trouve en voiture dans Paris un jour à embouteillages, que son chauffeur évite en empruntant la rue Saint-Denis. Et là, la prude dame découvre scandalisée que des péripatéticiennes officient dans cette rue… Le lendemain, une descente de police venait mettre un terme à l’exercice du plus vieux métier du monde… Mais, les réactions ne se faisant pas attendre, la rue Saint-Denis retrouva vite sa célèbre activité...
Ceci n’ayant rien à voir avec cela, récemment, la femme du maire traverse les Allées, découvre que l’on repeint la devanture d’un commerce d’une couleur qui ne lui plait pas, manifeste publiquement son avis et continue son chemin… Dans la demi-heure qui suivait, les services techniques de la mairie venaient mettre un terme à ces travaux de peinture…
Différence entre avant et maintenant : les travaux de peinture n’ont toujours pas repris…
Finis les rassemblements : comme nous l’explique le Midi libre du 25 mai, le maire a interdit le pique-nique que les Contribuables avaient prévu de faire le 18 juin sur la pelouse de la mairie. Pour illustrer l’article, le journal reprend la photo d’un grand pique-nique en ce même lieu avant les élections, où l’on peut distinguer plusieurs de nos élus actuels, y compris le maire…
Autrement dit, le maire actuel interdit ce qu’il organisait jadis, et que tolérait l’ancien.
Certains contribuables - habituels réboussiers - ont fait circuler quelques messages acerbes par Internet, se demandant si du temps de Baumet ils auraient renoncé, et si tous les Saint-Jean Bouche d’or de l’entourage de Castillon, et Castillon lui-même, seraient restés bouche cousue. Le silence le plus remarqué étant celui des élus de gauche, suspectés d’avoir approuvé l’interdiction d’une surboum le 18 juin, qui est aussi la fête des gaullistes, qu’ils n’aiment guère…
Et ces contribuables de conclure désabusés, que leur association ayant été créée par Castillon lui-même pour animer la contestation, maintenant qu’il est élu, finis les rassemblements…
D’autres contribuables préfèrent ne pas s’attarder sur l’interdiction, et insistent sur la nécessité d’être nombreux à Nîmes le 9 juin pour soutenir le droit d’expression des blogueurs anonymes qui ménageaient l’équipe Castillon, et tiraient à boulets rouges sur tous les autres, dont le Directeur des services de la mairie qui a engagé la procédure (et se retrouve maintenant au placard).
Reste à voir si les Contribuables iront également à Nîmes pour le procès qui va suivre, celui que les Castillon font à l’auteur du ‘’journal de Brigitte C’’, étant donné que, là aussi, c’est du droit d’expression qu’il s’agit… A moins de considérer qu’il y a deux façons d’appréhender ce droit, selon qu’il concerne quelqu’un qui roule pour Castillon, ou quelqu’un qui le parodie…
Tel est le dilemme pour une association qui se veut indépendante, car c’est là qu’elle sera jugée...
Enfin, on remarquera que dans ‘’le journal de Brigitte C’’, l’auteur fait dire à la femme du maire : « Maintenant tout va rentrer dans l’ordre. Tout va redevenir calme et tranquille. Je vous le garantis, on va y veiller. Finis les manifs, les tagueurs, les blogueurs et les enquiquineurs. Le premier qui moufte, on va pas le louper. Qu’on se le tienne pour dit ! » (sic).
Texte prémonitoire pour ce qui est du pique-nique interdit et du procès contre le journal en question, auquel l’auteur aurait pu ajouter : « et le commerçant qui repeint sa devanture d’une couleur qui me déplait, je fais arrêter les travaux ».
La pensée du jour : la femme est souvent le point faible du mari. ( James Joyce )
Fortes pluies et vents forts dans la région de Fukushima
L'ex typhon Songda, même s'il a baissé en intensité, est néanmoins assez inquiétant en raison des conditions météo dégradées sur cette région. Il faut se rappeler que le site nucléaire de Fukushima, touché par le séisme puis le tsunami le 11 mars dernier, est en effet situé près du littoral. La houle cyclonique résiduelle ralentit les efforts mis en oeuvre par les équipes de techniciens venus réparer les dégâts causées par le tsunami sur la centrale gravement endommagée.
Journée de la péche
/fdata%2F1369288%2Favatar-blog-1013831039-tmpphpda3Xfw.gif){kind=avatar}
