Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
10 septembre 2013 2 10 /09 /septembre /2013 20:51

bandeau internet patrimoine2013BR

Partager cet article
Repost0
4 septembre 2013 3 04 /09 /septembre /2013 22:06
Des industriels français forment une Alliance

PARIS, 02 sept 2013 (AFP) - Des industriels de l'agroalimentaire lancent, un an après une offensive parlementaire contre l'huile de palme, une Alliance française pour une huile de palme durable et s'engagent à utiliser d'ici 2015 seulement celle produite avec certaines garanties sociales et environnementales.

Six entreprises (Ferrero, Nestlé, Unilever, Vandermoortele, CSM, Cérélia) et trois organisations professionnelles (Association nationale des industries agroalimentaires, Alliance 7 et la Fédération nationale des industries de corps gras) forment à ce jour cette Alliance. « Elles s'engagent à utiliser d'ici 2015 une huile de palme qui réponde aux critères de durabilité définis par la RSPO (Round Table on Sustainable Oil) », indique l'Alliance dans un communiqué.

L'Alliance veut aussi promouvoir cette huile de palme certifiée auprès des PME du secteur et « favoriser la mise en place d'un système de traçabilité performant ». La RSPO, organisation créée en 2003 et réunissant notamment producteurs et distributeurs d'huile de palme, scientifiques et ONG, délivre depuis 2011 un label certifiant que les cultures ne se font pas au détriment de la forêt primaire ou à haute valeur de conservation et que les droits fondamentaux des populations locales sont respectés.

L'huile de palme a connu ces vingt dernières années un fulgurant développement ayant conduit à la déforestation d'immenses espaces naturels abritant une biodiversité précieuse (notamment des orangs-outans et des gibbons) et parfois à l'éviction des populations qui vivaient sur ces terres. La Malaisie et l'Indonésie représentent 85 % de la production mondiale.

L'huile de palme, qui entre dans la composition d'une très grande partie des produits alimentaires industriels, n'est pas mauvaise en soi mais consommée en trop grande quantité elle a, comme le beurre, des conséquences sur le système cardiovasculaire.

Les défenseurs de l'huile de palme mettent en avant le très fort rendement à l'hectare de cette culture (10 fois plus que le soja). Aujourd'hui, près de 15 % de l'huile de palme produite est certifiée durable par la labellisation RSPO, parfois critiquée pour avoir des critères d'attribution et des contrôles trop laxistes.

« Le système est perfectible notamment sur les enjeux écologiques, mais nous allons œuvrer pour que la RSPO soit plus stricte », assure Marc Toussaint, porte-parole de l'Alliance et président de CSM France. Selon lui, la France consomme environ 130.000 tonnes d'huile de palme par an et environ un quart est certifié par le label RSPO. « Malgré un surcoût d'environ 2 %, le message passe et le début 2013 marque une forte progression en faveur de l'huile durable », avance Marc Toussaint.

AFP

Partager cet article
Repost0
4 septembre 2013 3 04 /09 /septembre /2013 22:02

OGM

Des militants écologistes occupent une coopérative près de Metz

STRASBOURG (Bas-Rhin), 02 sept 2013 (AFP) - Une cinquantaine de militants écologistes ont occupé symboliquement lundi les locaux d'une coopérative agricole près de Metz, pour dénoncer le développement des cultures résistantes aux herbicides, qu'ils considèrent comme des « OGM cachés ».

Les militants, qui se présentent comme des « faucheurs volontaires », ont envahi les locaux de la coopérative "Lorraine Céréales approvisionnement" (Lorca) à Lemud (Moselle), pour y mener une « inspection citoyenne ». « Nous voulions vérifier si cette entreprise stocke de grandes quantités de semences de colza muté, mais nous n'en avons pas trouvé », a expliqué à l'AFP Alban Clerjon, l'un des participants à cette action. Les militants entendaient protester contre les VTH, ou « variétés tolérantes aux herbicides », en l'occurrence des semences de colza commercialisées par cette coopérative.

Dix organisations de défense de l'environnement ont dénoncé fin juillet la présence en champs de telles variétés qu'elles considèrent comme des « OGM cachés » et qui, d'après elles, échapperaient ainsi au moratoire instauré en 2008 contre les OGM.

Début août, le ministre de l'Agriculture Stéphane Le Foll avait réfuté une telle interprétation, soulignant que les VTH ne sont pas des OGM. Il avait exclu d'interdire des variétés mutantes utilisées en tournesol pour la troisième saison sur 10 % environ des surfaces, et encore à titre presque expérimental pour le colza cette année (1.000 ha environ sur 1,5 million d'ha au total selon le Cetiom, le Centre technique des oléagineux).

Lundi, la coopérative Lorca s'est elle-même « étonnée » de l'action menée par les militants écologistes. « Il n'y a aucun OGM cultivé en Lorraine ni ailleurs en France. La réglementation française est claire à ce sujet », a affirmé l'entreprise dans un communiqué. « La coopérative tient à rappeler que la technique de la mutagénèse que les faucheurs entendent dénoncer est une technique utilisée en agriculture depuis plus de 50 ans. Elle a été mise au point par la recherche publique (Inra). Les semences issues de la mutagénèse sont utilisées par l'agriculture biologique et conventionnelle », a-t-elle ajouté. Sur la forme, « l'occupation d'un site est toujours un acte choquant pour les agriculteurs et les salariés », a dénoncé Lorca.

AFP

Partager cet article
Repost0
29 août 2013 4 29 /08 /août /2013 06:31

Crise de l'œuf

Les producteurs se donnent une dizaine de jours avant d'éventuelles actions

PLOUMAGOAR (France / Côtes d'Armor), 27 août 2013 (AFP) - Les producteurs qui avaient détruit des centaines de milliers d'œufs au début du mois en Bretagne pour protester contre la faiblesse des cours due à la surproduction, ont annoncé mardi attendre de connaître le niveau des prix jeudi 5 septembre, avant d'envisager de nouvelles actions.

'Agrisalon'

Partager cet article
Repost0
28 août 2013 3 28 /08 /août /2013 07:21

 

 

Lors d’un entretien avec une délégation de la Confédération paysanne, le chef de l’Etat a rappelé lundi 26 août 2013 qu’il tiendrait sa promesse de campagne de revaloriser les retraites agricoles à 75 % du Smic « d’ici la fin du quinquennat ».

François Hollande, ici au Sia 2013 en février dernier, s'était engagé lors de la campagne présidentielle à revaloriser les retraites agricoles à hauteur de 75 % du Smic. (©TNC)

zoom

Thème cher à la Confédération paysanne, la revalorisation des retraites agricoles a été de nouveau évoquée lors d'un entretien que François Hollande a accordé lundi 26 août 2013 à une délégation du syndicat.

« Le candidat Hollande s'était engagé à revaloriser les retraites agricoles à hauteur de 75 % du Smic, a expliqué Laurent Pinatel, porte-parole de la Confédération paysanne à l'issue du rendez-vous. C'est un engagement qui sera tenu d'ici la fin du quinquennat ».

Cependant, l'engagement du chef de l'Etat ne concerne que ceux qui ont droit à une retraite à taux plein et qui ont cotisé toute leur vie. « Cela pose toujours le problème de l'égalité hommes-femmes tant défendue par la nouvelle majorité. Et quid de ceux qui ont travaillé en tant qu'aide familial avant de s'installer ? »

 

http://www.agrisalon.com/fr/permalien/article/7001291/Francois-Hollande-honorera-sa-promesse-d-ici-la-fin-du-quinquennat.html

 

Partager cet article
Repost0
26 août 2013 1 26 /08 /août /2013 13:44

samedi 24 août 2013

Taxe carbone : le gouvernement cède à la pression des écolos par Nicole Grenet


Alors que bon nombre de ministres semblent compatir au raz le bol fiscal des Français, oubliant au passage leur pleine et entière responsabilité, l'annonce par le ministre de l'Écologie, Philippe Martin, de la création d'une «contribution climat-énergie» a un peu l'effet d'une bombe glacée.



 
"Quinze mois après le début de leur participation au gouvernement de Jean-Marc Ayrault, les écolos montrent les muscles. Réunis à Marseille pour l'ouverture de leur université d'été, jeudi 22 août, les principaux leaders d'Europe Ecologie-Les Verts ont solennellement appelé François Hollande à "changer de cap" pour la suite de son quinquennat. Transition énergétique, fiscalité écologique... Pour eux, le compte est loin d'y être. Une impatience de plus en plus forte, mais qui pourrait porter ses fruits. Invité à participer à un débat sur "l'an II du quinquennat", le ministre socialiste de l'Ecologie, Philippe Martin, en a profité pour annoncer la création d'une "contribution climat énergie", plus connue sous le nom de "taxe carbone". Le gouvernement répond ainsi à une revendication forte des écologistes, qui avaient d'ailleurs déposé récemment une proposition de loi en ce sens à l'Assemblée. Ce nouvel impôt, dont "le montant et le rythme" doivent encore être débattus, vise à encourager particuliers et entreprises à des comportements plus écologiques, en taxant les consommations d'énergies polluantes.
Venu avec plusieurs cadeaux dans sa hotte, Philippe Martin a également annoncé avoir "obtenu" que le budget 2014 de l'agence de l'environnement et de la maîtrise de l'énergie (ADEME), "bras armé" de son ministère, soit rehaussé au niveau de celui de 2013. Là encore, il s'agissait d'une revendication des écologistes. "La transition écologique n'est pas une option politicienne, c'est une nécessité politique", martèle le ministre, en répétant son opposition au gaz de schiste et aux OGM, et en réitérant la promesse d'une fermeture de la centrale nucléaire de Fessenheim avant la fin du quinquennat.

"Que l'on passe des discours aux actes !"

De quoi tempérer les ardeurs des écolos ? En partie, peut-être. Car toute la journée, leurs principales vedettes - de Jean-Vincent Placé à Eva Joly en passant par José Bové - n'ont eu de cesse de répéter que le gouvernement devait "accélérer" sur les questions environnementales. "On ne peut plus attendre", martèle la co-présidente des députés EELV, Barbara Pompili. "Que l'on cesse les annonces, et que l'on passe des discours aux actes !", insiste le secrétaire général du parti, Pascal Durand. 
Pour les Verts, trois points sont primordiaux : préserver le budget du ministère de l'Ecologie, avancer sur la question de la transition énergétique, et adopter des mesures de fiscalité écologique. "Si ces rendez-vous étaient manqués, nous devrions en tirer les conséquences", met en garde le ministre écologiste Pascal Canfin, en laissant planer une nouvelle fois l'ombre d'une sortie des Verts du gouvernement. 
A un peu plus de six mois des élections municipales, les écolos veulent accentuer la pression sur leur partenaire socialiste. François Hollande répète régulièrement qu'il espère des listes communes PS-EELV dès le premier tour dans plusieurs villes. "Pour ça, c'est à lui de nous donner des gages de sa volonté d'agir vraiment pour l'écologie", résume un élu local bordelais. La création prochaine de cette fameuse "contribution climat énergie" en est un, au risque de semer la zizanie au sein de la majorité. Pas plus tard que mardi, le ministre de l'Economie, Pierre Moscovici, mettait en garde contre "le ras-le-bol fiscal" des Français. Il n'a visiblement pas été entendu. "

Bastien Hugues
Partager cet article
Repost0
22 août 2013 4 22 /08 /août /2013 22:55

mardi 13 août 2013

Et nos élus, seront-ils touchés par la réforme des retraites ? Par Nicole Grenet

mardi 13 août 2013

Et nos élus, seront-ils touchés par la réforme des retraites ? Par Nicole Grenet
Nous avons été à plusieurs reprises sur ce site le relais d'analyses réalisées par le magazine Capital.fr sur les retraites. Le dernier en date traitant des inégalités entre public et privé.


Toujours sur la thématique des retraites, Capital essaye de répondre à la question  :

Nos élus, seront-ils touchés par la réforme des retraites ?

" En pleine réforme des retraites, le débat sur l'alignement des régimes du public et du privé bat son plein. Mais il existe un système qui devrait échapper aux grandes annonces attendues en septembre : celui des sénateurs et des députés. Et ce, sans que personne n'en parle. Retour sur ces petits privilèges dont bénéficient nos élus même à la retraite.

> La retraite des élus locaux : un régime de retraite aligné sur celui du privé
Le système de retraite des élus locaux n'est pas plus avantageux que celui des salariés du privé. Dès lors qu’ils perçoivent une indemnité de fonction (maires, maires adjoints, conseillers municipaux des communes de moins de 100.000 habitants, conseillers régionaux…), tous ont la possibilité de se constituer des droits à retraite. Ils sont cumulables avec ceux qu’ils ont acquis, par ailleurs, au titre d’une activité professionnelle.
S’ils ont quitté leur métier pour se consacrer à leur mandat, ils sont obligatoirement affiliés, dans les mêmes conditions que les agents non titulaires d’une collectivité territoriale, au régime général de la sécurité sociale et au régime complémentaire de retraite des agents non titulaires des collectivités publiques (Ircantec). Les conditions de liquidation de leur retraite de base et complémentaire sont alors alignées sur celles des salariés du secteur privé : ils peuvent donc prétendre à une retraite à taux plein à partir de l’âge du taux plein (65 ans progressivement porté à 67 ans), ou à partir de l’âge minimum de la retraite (60 ans progressivement porté à 62 ans) sous réserve qu’ils aient la durée d’assurance requise.
Ceux qui continuent à travailler, en parallèle de leur mandat, ne sont pas affiliés au régime de base de la sécurité sociale, mais cotisent uniquement auprès de l’Ircantec pour leur retraite complémentaire. Ils ont, toutefois, la possibilité de se constituer un complément individuel de retraite par capitalisation auprès du Fonds de pension des élus locaux (FONPEL) et de la Caisse autonome de retraite des élus locaux (CAREL), la moitié de leur cotisation étant alors prise en charge par la collectivité dans laquelle ils sont élus.
Les élus déjà retraités sont, de leur côté, soumis aux mêmes règles du cumul emploi/retraite que les autres. Il leur est de surcroît interdit de cumuler une retraite d’élu avec l’exercice d’un mandat de même catégorie. Conséquence : les personnes qui reprennent un mandat de même catégorie, après avoir commencé à percevoir leur retraite, voient le versement de leur retraite suspendu. En revanche, il est possible de cumuler une retraite d’élu avec des indemnités liées à un mandat électif différent.

> La retraite des députés et sénateurs : une régime raboté en 2010 mais encore très avantageux
En matière de retraite, les parlementaires sont plutôt vernis, même après un coup de rabot lors de la dernière réforme de 2010. Des petits plus ­auxquels nos élus ­restent très attachés...
Les députés sont affiliés à la Caisse de Pensions des Députés ; les sénateurs à la Caisse de Retraite des Anciens Sénateurs. Leurs retraites sont financées par une cotisation assise sur leur indemnité parlementaire et par une subvention financée par le budget de l’Assemblée Nationale et du Sénat. Elles visent à compenser la rupture de carrière professionnelle subie par les élus du fait de leur mandat électif, en leur garantissant un revenu durant leurs vieux jours.
En 2010, les deux assemblées ont décidé d’aligner progressivement les règles de liquidation des pensions de retraite des députés et sénateurs sur celles applicables dans les autres régimes : l’âge minimal de liquidation de la retraite a été porté progressivement de 60 ans à 62 ans et la durée de cotisation alignée sur celle exigée dans le régime général, à savoir une hausse progressive pour atteindre 41,5 ans à compter du 1er janvier 2015 pour une retraite à taux plein. Ils ne sont, toutefois, pas soumis au dispositif de décote (5% par année manquante dans la limite de 5 ans dans le privé) : leur pension est calculée au prorata du nombre d'années effectuées.
Autre changement de taille depuis la réforme de 2010 : le fameux système de "double cotisation" a été supprimé. Il permettait aux députés et sénateurs de surcotiser pendant leurs premiers mandats. Ce système leur permettait de ne cotiser que 22,5 ans, contre 40 ans pour un salarié de base, et de toucher une allocation vieillesse de 1.500 euros net pour 5 ans de mandat et de 6.000 euros au-delà de 20 ans. Mais le nouveau régime reste très attractif : ils peuvent cotiser, sur la base du volontariat, 1,5 fois durant les deux premiers mandats, 1,33 durant le suivant, puis 1,25 durant tous ceux qui suivent. Ils sont par ailleurs assurés de toucher une pension minimum de 1.200 euros mensuels après un premier mandat de 5 ans. Soit la pension moyenne des Français après une carrière complète.
De plus, de très avantageux régimes complémentaires par points ont été mis en place à partir d’octobre 2011 pour les sénateurs et de juillet 2012 pour les députés. Ce système par capitalisation permet aux députés et sénateurs de s'assurer de coquettes pensions de retraites : 2.700 euros net par mois en moyenne pour un député et 4.382 euros (hors majoration pour enfants) pour un sénateur, selon les données publiées sur les sites de l’ Assemblée nationale et du Sénat .
Ces pensions, si mirifiques soient-elles, ne coûtent rien aux contribuables. Elles sont essentiellement financées par capitalisation, ce qui a permis au Sénat de se forger un trésor de guerre. A savoir une cagnotte estimée à 1,310 milliard d'euros, en 2011. Seuls les intérêts et les gains tirés des placements financiers permettent de payer les engagements de retraite, répartis entre la caisse de retraite des anciens sénateurs et la caisse de retraite des ex-employés du Sénat.

> Les députés européens : une retraite dorée
Il n'existe pas de régime de retraite pour les eurodéputés. Toutefois, en 1994, l'Union européenne a créé un fonds de pension auquel ils peuvent cotiser, ce qui leur permet de bénéficier de conditions tout à fait avantageuses, et ce, malgré les aléas des marchés financiers. Tout comme les hauts fonctionnaires européens, il leur suffit de 16 ans de cotisations pour valider une carrière complète pour s'assurer une pension mensuelle de 9.000 euros. Ce n'est pas tout : à partir de 63 ans révolus, les eurodéputés ont droit à une pension d'ancienneté, d'après une décision du Parlement européen datant de 2005 . Celle-ci s'élève au minimum à 500 euros par mois, plafonnée à 10.150 euros mensuels.
> La retraite du Président de la République : une indemnité à vie
Il n’existe pas à proprement parler de régime de retraite spécifique pour la fonction de Président de la République, ni pour celle de ministre. En vertu d’une loi du 3 avril 1955, les anciens Présidents de la République perçoivent une indemnité annuelle égale au montant du traitement d’un Conseiller d’Etat en service ordinaire (soit environ 73.000 euros bruts par an). En cas de décès, sa veuve (le cas des veufs n’est pas envisagé par le texte !) peut prétendre à la moitié de cette somme, tout comme ses enfants jusqu'à leur majorité, selon le texte officiel publié sur Légifrance .
Selon la Constitution de la Vème République, tous les anciens présidents sont nommés à vie au Conseil Constitutionnel. S'il occupe effectivement ce poste, ils peuvent empocher 12.000 euros par mois. S'ajoutent nombre d'avantages en nature : un appartement et 2 personnes çà leur service, une protection réalisée par deux policiers, une voiture de fonction avec deux chauffeurs, la gratuité des voyages... Le député René Dosière estime que la facture de tous ces services s'élève à 1,5 million d'euros par an à la charge de l'Etat. De quoi s'assurer des vieux jours plus que confortables..."

Nathalie Cheysson-Kaplan (avec Sandrine Chauvin
Partager cet article
Repost0
22 août 2013 4 22 /08 /août /2013 22:49

Capture-copie-1.PNG

Partager cet article
Repost0
21 août 2013 3 21 /08 /août /2013 21:32

Pour le gouvernement des impôts et des taxes c'est la fin du farniente !

Ce qui les préoccupent déjà dans tous les partis, ce sont les municipales...Combien de couillons vont encore leur faire confiance ?

l'executif se  penche sur la rentrée 2025,alors qu'ils ne sont déjà pas capables de prévoir la fin de la semaine !

 s'ils pouvaient nous parler de 2046 ce serait encore mieux ... j'aurai 100 ans

 

Partager cet article
Repost0
12 août 2013 1 12 /08 /août /2013 21:18
C'est magnifique de se faire élire par des islamistes 
*
Partager cet article
Repost0