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11 octobre 2013 5 11 /10 /octobre /2013 17:14
Impôts : s'attaquer à la manne fiscale de la résidence principale n'est plus un tabou !

Par Robin Massonnaud pour VotreArgent.fr, publié le 12/09/2013 à 14:54

Le Conseil d'Analyse économique propose d'imposer le loyer et la plus-value fictive correspondant à la détention de sa résidence principale


En savoir plus sur http://votreargent.lexpress.fr/impots/impots-s-attaquer-a-la-manne-fiscale-de-la-residence-principale-n-est-plus-un-tabou_336977.html#0pFbg8luZB3piVPM.99

 

Depuis tres longtemps il nous prennent pour des débiles mais là ils vont ateindre des sommet de foutage de gueule

LA REVOLUTION S'APPROCHE

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10 octobre 2013 4 10 /10 /octobre /2013 06:26
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8 octobre 2013 2 08 /10 /octobre /2013 06:02
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2 octobre 2013 3 02 /10 /octobre /2013 20:26

mercredi 2 octobre 2013

Financer des priorités : impôts, taxes, cotisations... par Gérard Gelé
      Jean-Marc Ayrault, pressé d’expliquer à la tribune de l’Assemblée pourquoi, toutes pro-messes oubliées, son gouvernement n’avait rien fait pour apaiser 
le « ras-le-bol » fiscal qui envahit une très grande majorité de Français, s’est exclamé : 
« La question, c'est à quoi sert l'impôt ? Nous revendiquons que l'impôt, c'est pour financer des priorités ».
Bien évidemment, Monsieur le Premier Ministre, mais le problème c’est que vos priorités sont à des années lumière de celles dont la France aurait besoin.
Admettons tristement que la priorité incontournable de tous nos élus, quel que soit leur camp, est de se faire réélire. Il leur faut pour cela caresser dans le sens du poil les catégories d’électeurs qui votent traditionnellement pour eux.
Mais jamais une majorité n’a disposé de l’hégémonie actuelle. Les socialo-communistes règnent dans les deux assemblées, dans la quasi-totalité des régions et très majoritairement dans les mairies, ce qui ne peut qu’inciter ces instances dirigeantes à tout faire pour renvoyer l’ascenseur. 
Au premier rang des « priorités », nous trouverons donc les fonctionnaires, les autres employés de l’État et leurs familles. Ce fut évident lors de la timide réforme des retraites qui s’est bien gardée de toucher aux privilèges de la fonction publique. Ce sont ensuite les employés et ouvriers noyautés par des syndicats qui n’ont pas hésité à appeler leurs troupes à voter Hollande en 2012. Il leur devient toutefois de plus en plus difficile de convaincre ces troupes que c’était la bonne décision. La réalité économique commence a être de mieux en comprise par une population qui réalise que les lendemains, jadis promis, chantent de plus en plus faux. Et ceci, malgré des médias, eux aussi protégés par des règles fiscales très favorables, ce qui ne les incitent pas à cracher dans la soupe. C’est ainsi par exemple que la récente visite de François Hollande sur le site de Florange a été rapportée comme un « acte courageux », alors que la seule solution qu’il était venu proposer était la création d’un « Centre de recherche » financé par l’État, sous les huées de la population locale qui a bien compris que seul « Pôle-emplois » ne risque pas de fermer ses portes !
Les « priorités », ce sont également :
-         577 Députés - 343 Sénateurs - 2040 Conseillers régionaux - 4042 Conseillers généraux - 36635 Maires - 519417 Conseillers municipaux - 78 Députés européens - Environ 38000 élus intercommunaux . Soit au total, plus de six cent mille élus. Un record du monde pour un pays de notre taille !
-          
Les « priorités » se sont encore 38 Ministres, contre 19 en Allemagne. Chaque Ministre disposant d’un cabinet pléthorique, ce qui engendre des fuites et une cacophonie que vous ne parvenez pas à juguler, Monsieur le Premier Ministre. On comptait 525 conseillers dans les ministères en juillet 2012. On en dénombre aujourd’hui 571, soit une hausse de 10%. La rémunération moyenne d’un conseiller ministériel est de 7 500 euros net par mois, certains conseillers ga-gnant même plus que leur ministre.
Les priorités, ce sont les innombrables commissions, groupes de travail, ateliers de réflexion et autres « comités Théodule » dont les rapports sont immédiatement mis au panier.
Les priorités, c’est cette habitude bien française qui consiste à promulguer beaucoup trop de lois et décrets et, surtout, d’assortir chaque texte d’un nombre incalculable d’exceptions destinées à protéger telle ou telle catégorie de Français au nom de la « justice sociale ». Il en résulte ce qu’il est convenu d’appeler des « usines à gaz » difficiles à appliquer et génératrices d’un surcroît de travail totalement inutile pour les entreprises comme pour les agents de l’État chargés de l’application des textes. Une tâche d’autant plus insurmontable que nos lois s’accumulent souvent sans que l’on songe à supprimer les lois qu’elles remplacent.
Les priorités, ce sont les réformes, ou ce que le gouvernement présente comme telles. Chaque ministre ayant pour ambition première de voir une loi porter son nom. Les paroles des ministres s’envolent mais leurs écrits restent, pensent-ils sans doute. Ces écrits restent, en tous cas, jusqu’à ce que le ministre suivant nous concocte un nouveau texte sensé résoudre les nombreuses lacunes de la loi précédente. Et ainsi de suite, comme la mer efface sur le sable les pas des promeneurs.
Les priorités, ce sont les longues listes de primes, d’indemnités, d’allocations et autres aides financières créées au fil du temps et toujours augmentées alors que les rares mesures en faveur des entreprises, tel le statut d’auto-entrepreneur, sont constamment remises en question. Le summum de l’absurdité, c’est que la suppression des simplifications administratives et fiscales nous est présenté comme des « économies » budgétaires, alors qu’il ne s’agit que de recettes en plus pour un état boulimique.
Les priorités, ce sont les absences de contrôle sans cesse dénoncées par la Cour des comptes concernant les fraudes aux prestations sociales et, tout récemment, le nombre de centenaires algériens (plus de 50.000) pensionnés par la France sans s’être assuré qu’ils sont toujours vivants. Ce sont les généreuses dispositions qui permettent aux étrangers n’ayant jamais cotisé de recevoir des soins gratuits.
Les priorités, ce sont les subventions accordées à tort et à travers aux associations, qu’elles soient culturelles, humanitaires, sportives ou encore aux « partenaires sociaux », supposés garants de  la paix du même nom.
Voici, Monsieur Ayrault, quelques exemples des « priorités » financées par l’impôt. 
La liste n’est pas exhaustive et vous pourriez certainement en trouver de nombreuses autres si votre gouvernement faisait preuve de la même imagination que celle qui l’anime quand il s’agit d’inventer de nouveaux impôts, taxes et autres contributions
 http://pont-saint-esprit.rassemblement-contribuables.fr/2013/10/financer-des-priorites-impots-taxes.html
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23 septembre 2013 1 23 /09 /septembre /2013 06:19

dimanche 22 septembre 2013

 


Charte de la laïcité à l’école.
 
La Nation confie à l’Ecole la mission de faire partager aux élèves
les valeurs de la République
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22 septembre 2013 7 22 /09 /septembre /2013 12:35

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 par les promesses

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22 septembre 2013 7 22 /09 /septembre /2013 12:34
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20 septembre 2013 5 20 /09 /septembre /2013 07:19

PARIS, 19 sept 2013 (AFP) - L'agriculture et l'industrie agroalimentaire pourraient créer 35.000 emplois dans les trois ans sous réserve d'un allègement des charges fiscales et réglementaires dont l'écotaxe, « inacceptable en l'état », a prévenu jeudi Coop de France.

Avec les organisations syndicales, Coop de France, qui regroupe près de 3.000 entreprises, s'est engagée à recruter 30.000 salariés de moins de 30 ans et 4.500 de 50 ans et plus dans les trois prochaines années si le secteur obtenait des allègements, a indiqué jeudi son président Philippe Mangin. « 35.000 emplois, il n'y a pas beaucoup de secteurs en France qui peuvent le faire : or nous avons des carnets de commande pleins mais le secteur produit moins, dans toutes les filières, parce que nous ne sommes pas en état de résister à nos concurrents, même européens », martèle-t-il en citant l'Allemagne et les Pays-Bas.

Les coopératives agricoles ont demandé à être éligibles au Crédit d'impôt compétitivité emploi (CICE) « mais on attend toujours la réponse de Bercy » : la demande fait l'objet de « navettes avec Bruxelles mais n'est toujours pas validée » selon Philippe Mangin, qui dit « s'interroger » sur la pugnacité du ministère des Finances. Or ce dispositif qui vise à réduire le coût du travail sur les salaires allant jusqu'à 2,5 Smic concernerait nombre des salariés des coopératives estime-t-il : « Ces 35.000 emplois ne pourront être traduits que si le CICE peut nous être appliqué : ce n'est pas une menace, c'est comme ça ».

Le secteur s'inquiète déjà de l'entrée en vigueur de l'écotaxe, payée pour les poids lourds qui emprunte des routes non payantes et repoussée au 1er janvier, qui introduit « des distorsions d'une région à l'autre et avec l'étranger », souligne-t-il : « la taxe va handicaper l'économie territoriale et les circuits courts plus que le camion qui fait Rotterdam-Barcelone » juge Philippe Mangin. Il cite le cas des aliments pour le bétail, « taxés six fois tout au long de la chaîne » du champ au distributeur, « contre une fois seulement au pied du bateau pour ceux importés ».

Aussi, à la veille de la Conférence environnementale (vendredi et samedi) le président de Coop de France dit craindre « de nouvelles mesures fiscales » et « qu'on ne retombe dans le réglementaire et le contraignant ». « Nous n'accepterons aucune nouvelle mesure fiscale sans suppression d'une ou deux autres en compensation » prévient-il. « Dans de nombreuses coopératives, des DRH en ont sous le pied » en termes de commandes et donc d'emplois, indique Philippe Mangin. « Mais ils veulent des assurances ».

AFP

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17 septembre 2013 2 17 /09 /septembre /2013 06:58
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13 septembre 2013 5 13 /09 /septembre /2013 06:43

Le probleme est de savoir qui va etre integré

 (la poste à Nantes)

 

 Untitled11.jpg

Le breton est une langue superbe 

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