28 juillet 2011
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Il manque un peu de luminosité pour que les couleurs ressortent
De la taille du merle : calotte brune, bavette jaune encadrée de noir ; ventre bleu-vert à bleu-turquoise ; dos brun-marron à jaune-paille ; ailes bleu verdâtres à pointes noires ; queue vert sombre d'où dépassent deux médianes à pointe effilée ; bec noir légèrement arqué, qui peut être fortement usé par le creusement du terrier bande noire qui traverse l'oeil noir à l'iris rouge.
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27 juillet 2011
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Cette année les coccinelles ont fait du tres bon travail en détruisant les pucerons présents sur lauriers roses et autres plantes
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24 juillet 2011
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Toujours prete à donner un coup de main
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21 juillet 2011
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L'envie de voyager gratuitement parait tres intéressante pour Jiminy Crichet
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18 juillet 2011
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En lisant Midi-Libre je me suis apercu que j'avais aussi fixer cet etrange animal
Les geckos ou Gekkonidae (parfois francisé geckonidés) forment une famille de lézards de taille modeste dont on rencontre les espèces dans de très nombreux pays.
Ce nom provient du malais « Gekoq », qui est une onomatopée correspondant au cri d'un gecko indonésien .
Les geckos sont également qualifiés de lézard, terme qui regroupe en réalité de nombreux squamates.
Dans certains pays, ces animaux sont considérés comme sacrés, et portent bonheur. Dans d'autres, ils sont associés aux esprits et portent malheur (Uroplatus à Madagascar, par exemple). Ils sont aussi très appréciés car ils mangent les insectes nuisibles.
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4 juillet 2011
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Bravo pour les réponses c'est en effet la fleur de fedjoa Félicitations pour les commentairesde bab,Elisabeth et Jullien
Par contre un papillon que l'on rencontre de moins en moins je pense qu'il s'agit de (..........) pouvez vous me le confirmer Merci
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2 juillet 2011
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Avec la chaleur elles sont de retour
photo artiste inconnu
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30 juin 2011
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Je cherche quel insecte peut manger les feuilles de palmiers de façon aussi symétrique
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24 juin 2011
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Remontés par la crise de la surmortalité des huîtres, les ostréiculteurs traditionnels qui élèvent des coquillages nés en mer et non en écloserie, sont en guerre avec l'Ifremer qui a lancé une huître fine toute saison à croissance rapide, grâce à des manipulations génétiques.
« On est des éleveurs mais on veut laisser faire la nature le plus possible. Avec la triploïde, on est en train de dénaturer un animal sauvage au risque que ça se retourne contre nous », peste Annie Castaldo ostréicultrice traditionnelle dans l'Hérault. Cette productrice participait cette semaine à Tourville-sur-Sienne (Manche) au rendez-vous annuel des Ostréiculteurs traditionnels (OT) qui compte 60 membres. Environ 10 % des ostréiculteurs pratiquent l'huître traditionnelle sans forcément adhérer à OT. L'association s'apprête à lancer son propre étiquetage « huîtres nées en mer » sur les marchés et réclame une traçabilité.
« Aucune donnée objective pour dire que l'origine de la fragilité est due à la triploïde »
Les « OT » refusent d'élever des mollusques nés en écloserie et surtout pas les triploïdes créées par l'Ifremer (Institut français de recherche pour l'exploitation de la mer). Ils les soupçonnent de jouer un rôle dans la surmortalité des jeunes huîtres apparue en 2008. Le virus touche tous les ostréiculteurs, traditionnels ou pas. Mais les OT se demandent si la triploide ne conduit pas à un affaiblissement du capital immunitaire de l'huître, voire si elle n'est pas à l'origine de la mutation du virus. A l'Ifremer, on assure qu'il n'existe à ce jour, « aucune donnée objective pour dire que l'origine de la fragilité est due à la triploïde » qui représente aujourd'hui plus du tiers du marché en France.
Les triple X ne sont pas des Ogm
Cette huître lancée en 95/98 est dite « quatre saisons » parce que quasi stérile et donc jamais ou peu laiteuse, la laitance gâche l'été la finesse du goût et donc les ventes. Elle arrive à maturité en moyenne six mois plus tôt que son ascendant sauvage. C'est l'Ifremer qui a développé en France cette invention américaine: la triploïde (10 triplets de chromosomes) vient d'une mère diploïde classique (10 paires de chromosomes et d'un père tétraploïde (10 séries de quatre chromosomes) créé par les scientifiques. Les pères sont fournis aux écloseries où naissent les triploïdes. Les triple X ne sont pas des Ogm car ce ne sont pas les chromosomes eux mêmes qui sont modifiés mais leur nombre, comme pour les clémentines sans pépins. Le procédé, rare pour les animaux, est utilisé pour la truite.
Les ostréiculteurs craignent une disparition de leur huître
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